Profil d’employé : Catherine Henry
Responsable des communications et de la sensibilisation
Lorsque Catherine Henry a postulé pour la première fois à Opération Gareautrain (OL), même elle n’avait aucune idée à quel point le travail l’atteindrait près de chez lui.
Cet assistant politique de longue date devenu professionnel des communications était intrigué par le but et la mission d’OL. C’était aussi l’occasion de mettre à profit son expérience en matière de relations municipales et avec les parties prenantes.
Mais lorsqu’elle a parlé de ce rôle à sa tante, elle a découvert un lien plus profond.
Catherine a appris que son arrière-grand-père, Ralph Henry, un agriculteur de l’est rural d’Ottawa, avait été heurté et tué par un train à un passage à niveau quatre jours avant Noël 1940.
Des articles de journaux d’archives suggèrent qu’il était en route pour livrer des œufs à un client lorsqu’il a été heurté.
» Les conséquences d’une tragédie familiale semblaient soudain encore plus réelles « , dit Catherine. Et son empathie pour les tragédies familiales ne s’arrête pas là : en 2016, Catherine a perdu un frère par suicide.
« Il s’est suicidé de manière totalement inattendue « , dit-elle. » Je sais ce que vivent les familles et l’énorme effet d’entraînement que ces types de tragédies peuvent provoquer. Nous sommes tous interconnectés. Donc ce travail signifie beaucoup.
Les emplois antérieurs de Catherine concernaient la défense de la sécurité routière, de la sécurité à vélo et de la participation autochtone.
Dans son rôle actuel, Catherine gère les efforts de sensibilisation et de communication municipaux d’OL, y compris son programme de partenariat en sécurité communautaire et l’initiative Operation Clear Track.
Catherine a un partenaire et deux filles adolescentes et vit dans un quartier de l’est d’Ottawa, non loin de l’endroit où son arrière-grand-père a perdu la vie.
Elle peut se perdre pendant des heures à jardiner dans son grand jardin.
Catherine dit qu’elle est plus heureuse lorsqu’elle est dans la nature.
Cycliste et skieuse de fond, elle se rendait au travail à vélo pendant de nombreuses années (avant la pandémie) et a participé à des courses de ski et à des loppets. Elle est également très heureuse d’avancer à des rythmes plus lents.
Tout cela fait partie de la recherche d’un équilibre dans la vie qui, comme Catherine le sait très bien, peut être précieuse et éphémère.