Profile de l’employée : Stéphanie Montreuil
Directrice principale, communications et relations avec les médias
Vous auriez du mal à rencontrer un plus grand fan du groupe de rock alternatif R.E.M. que Stéphanie Montreuil.
Elle a vu le groupe se produire plusieurs fois sur deux continents.
En fait, elle s’est envolée une fois pour Dublin pour un spectacle en soirée et est repartie le lendemain. Elle a aussi vu le groupe à Rome où elle a eu la chance de rencontrer plusieurs de ses membres.
Son album R.E.M. préféré, Fables of the Reconstruction, a une piste appelée « Driver 8. »
Les paroles de la chanson se lisent comme un hommage à la vie dans les communautés ferroviaires, et la vidéo présente des images de trains de Chessie System. (Chessie fait maintenant partie du CSX américain de classe un.)
Toute destinée inconsciente mise à part, le parcours professionnel de Stéphanie l’a amenée à l’Association des chemins de fer du Canada par un chasseur de têtes au début de 2020, une « année intéressante » pour le moins.
« J’ai travaillé dans de nombreux environnements hautement réglementés en tant qu’employée », dit-elle. « J’ai aussi toujours eu un côté entrepreneurial. L’ACFC me permet de satisfaire deux parties de ma personalité en une seule opportunité. En plus de renforcer l’importance d’une bonne communication dans le plaidoyer. »
Depuis son arrivée, elle s’est penchée sur toutes les activités de communication que l’ACFC entreprend. Elle y a appliqué la même rigueur qui a fait d’elle une solopreneure à succès pendant près d’une décennie.
Elle a également apporté son expérience dans le monde des associations et sa passion de s’assurer que les membres obtiennent de la valeur et voient le retour sur leurs investissements.
« C’est vraiment intéressant de faire partie d’une industrie qui existe depuis si longtemps mais qui innove constamment. »
Un des premiers utilisateurs de Twitter à Ottawa, l’instinct de Stéphanie est de « faire agir les gens » pour le bien de tous.
Elle a été bénévole pour le Royal d’Ottawa et est membre du conseil d’administration de Voice Found un organisme sans but lucratif national qui supporte les victimes d’abus sexuels et lutte contre l’exploitation sexuelle. Son plus grand objectif dans la vie est d’être un bon modèle pour ses deux enfants, Émilie, 22 ans et Raphaël, 5 ans.
Stéphanie est née à Montréal, mais sa famille a déménagé partout au Québec alors que la carrière de son père comme maître de poste l’emmenait dans des centres de plus en plus grands.
Lorsque Stéphanie avait 12 ans, son père a accepté un emploi au siège social de Postes Canada à Ottawa. Et Stéphanie est arrivée sans parler un mot d’anglais.
Elle a appris rapidement, bien qu’elle soit au lycée français et qu’elle fréquente ensuite un collège français.
Elle plaisante: « J’étais en 9e année. C’était pour un garçon. »
Maîtrisant maintenant à la fois de la langue de Molière et de Shakespeare, Stéphanie en est venue à aimer Ottawa et son style de vie actif. Ainsi que la scène musicale qu’elle offre (normalement).
« J’adore les auteurs-compositeurs-interprètes, et Ottawa a une scène tellement active avec de superbes salles de concert. J’ai vraiment hâte que l’on puisse de nouveau assister aux concerts, une fois que la COVID-19 sera derrière nous. »
En attendant, elle se contente d’écouter ses albums favoris.
Et, pour reprendre les mots d’un autre titre de chanson de son album R.E.M. préféré, elle peut se concentrer professionnellement sur les « bons conseils » (Good Advices).
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