Ne risquons pas de chasser des emplois et des investissements vers les États-Unis avec l’interconnexion prolongée.
Le gouvernement fédéral a rétabli cette politique déficiente dans le budget de 2023 sans :
- Aucune preuve d’un problème nécessitant une intervention.
- Tenir compte des impacts pour les chaînes d’approvisionnement, les emplois canadiens et les investissements.
Cette politique risque de chasser des emplois syndiqués et des investissements vers les États-Unis et d’augmenter les coûts pour tous les Canadiens.
Certains groupes d’expéditeurs veulent avoir de meilleurs prix, mais tous les autres vont payer plus cher.
REGARDEZ ET EXPLOREZ cette série de vidéos interactives pour CONNAÎTRE LES FAITS :
Les faits sur l’interconnexion prolongée :
Elle désavantage les chemins de fer canadiens par rapport aux chemins de fer américains.
Elle risque d’augmenter le temps de transit d’un à deux jours en moyenne.
Elle risque de rendre les expéditions moins efficaces.
Elle risque d’augmenter les coûts de transport.
Elle n’aidera pas les agriculteurs, les consommateurs ou les travailleurs, car elle risque de ralentir les chaînes d’approvisionnement.
Elle risque d’augmenter les émissions de GES.
Imaginons que nous prenons l’avion.
Imaginons que nous prenons l’avion. On peut voler directement du point A au point B. Ou on peut être obligés d’aller dans la direction opposée, de changer d’avion et d’attendre avant d’arriver à destination. L’interconnexion prolongée est comme ajouter cet arrêt supplémentaire.
Les avantages de l’expédition par train
Les chemins de fer canadiens sont les plus sûrs en Amérique du Nord.
Les chemins de fer canadiens offrent en moyenne les tarifs marchandises les plus bas des principales économies de marché.
Le train est le mode transport terrestre le plus écologique. Un train peut retirer 300 camions des routes, réduisant considérablement les émissions de GES.
Les chemins de fer canadiens transportent, en toute fiabilité, 380 milliards $ de biens, chaque année, et la moitié des exportations du Canada.
Les temps d’arrêt du transport ferroviaire restent bas, alors que les retards des autres modes de transport augmentent.